En Belgique, l'étudiant qui picole est un héros, mais l'alcolodépendant est ultra stigmatisé. Un paradoxe qui expliquerait le rapport ambigu des Belges à l'alcool ?

La Belgique est dans un paradoxe : l'alcool y est survalorisé et en parallèle l'alcoolodépendance est ultra strigmatisée. L'étudiant fêtard est encouragé, mais l'alcoolodépendant devient un infrahumain, qui n'aurait aucune volonté et serait responsable de ce qui lui arrive. Et vous, comment buvez-vous ? Quel regard portez-vous sur l'alcool ?

fb tw ig ma